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 I Was Alive, Alive In My Own Pefect World

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MessageSujet: I Was Alive, Alive In My Own Pefect World   I Was Alive, Alive In My Own Pefect World Icon_minitimeLun 7 Avr - 19:18

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Lukas N. Eleventh vs Kea Jouan

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>>Mademoiselle Thallys, vous ne pouvez pas partir dans cet état ! Laissez-nous vous amener aux urgences.

Non, je ne voulais certainement pas aller aux urgences dans ces lits d’hôpitaux, j’avais ma dignité. Lançant un regard amusé, je descendis souplement de leur ambulance, leur fit un geste de la main en guise d’au revoir et me dirigea fièrement vers l’entrée de l’hôpital. Le bruit de mes talons claquait sèchement sur le sol en carrelage du hall d’entrée. Tous les regards se tournèrent d’un coup dans m direction. Certains avaient des têtes de poissons qu’on venait de sortir de l’eau, n’avaient-ils jamais vu une personne se rendre à la réception d’un hôpital ? L’hôtesse de réception me regarda avec des yeux grands ouverts, et tout en me fixant, elle tâtonna son bureau à la recherche d’un téléphone. J’étais en si mauvais état que ça ? Moi qui pensait n’arborer que quelques ecchymoses et tout au plus des plaies ouvertes sur mes jambes. Il semblerait que je me sois lourdement trompée.

Arrivée devant ladite femme, je posais mes bras sur son bureau, et m’asseyais lourdement dans la chaise en face d’elle. Je ne comptais pas rester hospitalisée durant des semaines, je voulais juste qu’on m’apporte les soins appropriés pour qu’en suite, je retourne à la réception qui venait de mal tourner pour terminer ce que je venais de commencer. Il fallait que le maître de cérémonie meure de ma main et sous mes yeux, je ne pouvais pas le laisser vivre ! C’est pour cette raison que je veux être soignée rapidement.

Cependant, je n’avais pas eu l’occasion de demander à voir un médecin que j’en vis arriver en face de moi. D’un bond je me levais pour me mettre debout devant eux. Je savais ce qu’ils voulaient, m’hospitaliser pour voir l’étendue de mes blessures. Me reculant légèrement, je sentis mes jambes flageoler sous moi. Tentant de me retenir aux meubles qui m’entouraient, je les vis se rapprocher dangereusement de moi. Ma vision commença à me jouer des tours, elle se troubla et mes paupières étaient lourdes et se fermèrent d’un coup, et en même temps mes jambes me lâchèrent.

Ce fut le bip-bip caractéristique de l’électrocardiogramme qui me réveilla. Regardant autour de moi, je vis que je me trouvais dans une chambre d’hôpital, branchée à tout un tas d’appareil bruyant. Ah moi qui voulais éviter ça. Soupirant bruyamment, je sonnais pour appeler les infirmières.

>>Faites moi sortir d’ici ! Je dois absolument aller voir quelqu’un ! Limite, si vous avez peur de votre patron, laissez moi lui parler, je suis sûre que je saurais le convaincre.

Dans ma tenue de guerre tout est possible. La robe noire décolleté dans le dos et le regard charbonneux, perchée sur mes talons. Je suis persuadée qu’il ne saura pas me refuser ma demande.

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Lukas N. Eleventh
Lukas N. Eleventh
« THE DOCTOR »
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MessageSujet: Re: I Was Alive, Alive In My Own Pefect World   I Was Alive, Alive In My Own Pefect World Icon_minitimeVen 9 Mai - 23:20


LuKea ❧ soulmates
Il est six heures trente du matin. Tu le sais car ton réveil vient de s'allumer, hurlant la chanson qui passe à ce moment précis sur la station de radio. Et, forcément, cela te met de (très) bonne humeur pour aller bosser en dépit de toutes les heures de sommeil que tu dois encore rattraper. T'étirant rapidement, tu te mets à siffloter tout en te levant. Chaque matin c'est la même chose, tu es quelqu'un de très routinier. Tu te lèves, tu déjeunes, tu donnes à manger à Schrödinger - ton chaton chéri - en même temps puis tu finis par faire un tour dans la salle de bain, le tout en laissant soit la radio allumée soit en allumant la télévision. Aujourd'hui, tu décides de laisser la radio, tu aimes trop la chanson qui passe pour la couper. C'est donc en dansant et en chantant que tu rejoins la cuisine et que tu prépares ton bol de chocolat chaud. « I'm addicted to you ~ » Même le chat s'y met, c'est pour dire.

Une demi-heure après tu es prêt. Habillé, peigné, chaussé. Parfait de la tête aux pieds, en somme. Ce n'est qu'après avoir réajusté une énième fois ton nœud papillon devant le miroir que tu te décides enfin à quitter ton appartement pour rejoindre ton lieu de travail, l'hôpital John Hopkins. Tu as toujours travaillé là, tu y étais interne, tu l'as intégré en tant que médecin urgentiste après tes études et, depuis, tu y es resté. Tu t'y plais bien, il faut dire. Les collègues sont sympas, tu es plutôt bien payé (comme un médecin, quoi) et tu y fais le métier qu'il te plaît : sauver des vies. Tu en voies des vertes et des pas mûres chaque jour, pourtant jamais tu n'arrêteras ce que tu fais. Tu aimes trop ton job pour cela, peu importe les horreurs qu'il te fait voir. C'est avec le sourire que tu descends du bus qui, chaque matin, te dépose devant les grandes portes vitrées de l'imposant bâtiment.

Ta journée se passe bien, comme d'habitude. Après avoir fait un tour dans les vestiaires pour enfiler la traditionnelle blouse blanche, tu t'es rendue au service des urgences et tu t'es occupé de tous ceux qui sont arrivés. Un jeune enfant avec un bras cassé (tu lui as offert des bonbons, il était trop choupi), une vieille femme qui a fait une mauvaise chute dans les escaliers ... Bref, le train-train quotidien quoi. Comme d'habitude tu ne dînes pas et, à la place, travailles encore et encore. Tu es de garde cette nuit, ça tombe bien. Même bavant de sommeil tu es capable de faire des heures supplémentaires en plus de tes heures supplémentaires, c'est dingue ça. En même temps, sans ton côté workaholic, jamais tu ne l'aurais rencontré ...

Il est tard dans la nuit. C'est une nuit agitée, il y a du monde qui arrive régulièrement. Pas autant qu'au nouvel an, mais beaucoup tout de même. Alors que tu viens tout juste de t'occuper d'un jeune drogué, les portes du service s'ouvrent brutalement et un brancard entouré d'un groupe de personnes s'approche de toi. Est-ce la jeune femme que les ambulanciers ont annoncé voilà quelques instants ? Elle semble si jeune ... Bien vite tu retrouves tes esprits, tu dois vérifier ses signes vitaux, vérifier qu'elle respire correctement, et puis qu'elle n'a pas d'hémorragie, et puis, et puis ...

[...]

Mal. Tu as mal, atrocement. Cela fait quelques minutes que la jolie demoiselle en robe de soirée - Thallys, tu te souviens de son nom de famille, c'est toi qui a rempli les papiers - a été transporté dans une chambre individuelle après avoir reçu les soins nécessaires. Comme elle va bien, tu l'as laissé et tu es retourné voir le drogué. Sauf que lui, il n'allait pas bien du tout. Quand tu t'es approché, en catastrophe, tu étais loin de te douter qu'il allait tenter de te faire du mal. Fort heureusement, rien de grave ... Il délire, simplement. Il hurle, hurle à en faire peur, jusqu'à ce que les médicaments fassent effet. En attendant, toi tu saignes et tu as mal.

Tu ne t'es encore jamais fait "agresser", c'est nouveau pour toi de te faire bousculer ainsi. Mais tu l'oublies bien vite lorsqu'une infirmière te bip, chambre de mademoiselle Thallys, illico presto. Tu te demandes bien ce qu'il se passe, alors tu cours jusqu'à t'engouffrer dans la petite pièce ... Pour te retrouver face à une Mlle Thallys en robe de soirée noire hyper sexy et sur ses hauts talons. Déjà debout ? WHAT ? « Mademoiselle, vous ne pouvez pas sortir, vous devez vous recoucher ! Vous avez été salement amochée, s'il vous plaît, restez tranquille ... »

Et c'est le médecin avec le poignet en sang qui dit ça.

Abruti.
©clever love.
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MessageSujet: Re: I Was Alive, Alive In My Own Pefect World   I Was Alive, Alive In My Own Pefect World Icon_minitimeSam 10 Mai - 20:43

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Lukas N. Eleventh vs Kea Jouan

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J’étais persuadée que le médecin de garde ne pourrait pas me refuser ma sortie. Vêtue comme je suis vêtue tout est possible c’est certain. J’étais donc dans ma chambre d’hôpital, accompagnée d’une infirmière à attendre le médecin de garde. Elle venait de le biper en urgence car je voulais m’en aller. Durant cinq minutes, elle avait tenté tant bien que mal de me recoucher « pour mon bien-être » m’avait-elle dit.  Comme je lui avais tenu tête, elle avait voulu du renfort. Voila comment on en était arrivé là. Elle dans sa tenue stricte d’infirmière, qui fait rêver tant d’homme et moi dans une robe de bal.

Lorsque le médecin de garde arriva, mon cœur sauta un battement. Cet homme dégageait un charme naturel, en était-il seulement conscient ? Il dégageait une aura chaleureuse, on avait envie d’aller naturellement vers cet homme. Dans ses yeux gris on pouvait aisément lire toute la gentillesse dont cet homme était capable. Malgré le fait que son physique soit atypique, et qu’il ne respecte pas les « codes beauté » dictés par les publicités, cet homme était à mes yeux, beau. Le nœud papillon qui ornait son cou rajoutait une touche d’originalité à cet homme, mais ne lui enlevait pas son charme naturel.

>>Je ne peux malheureusement pas rester tranquille. Je dois absolument me rendre à la fête à laquelle je me trouvais, je dois régler un problème !

Je ne peux malheureusement pas m’étendre sur le sujet, ça risquerait de mettre plusieurs personnes dans l’embarras. De plus, si je commençais à expliquer la véritable raison, le docteur ne me croirait pas, et il me ferait enfermer dans l’hôpital psychiatrique. Qui pourrait croire qu’une jeune femme travaille dans un service dangereux du gouvernement ? Personne !  

Pour tenter de mettre toutes les chances de mon côté, je décidais d’user de mes charmes. Je plongeais mon regard bleu dans ses yeux, un sourire énigmatique se dessina sur mes lèvres et je m’approchai lentement de lui. Il m’est déjà arrivé à de nombreuses reprise d’avoir dût user de mes charmes, pas régulièrement cela dit. Arrivée assez proche de lui, je me mis sur la pointe des pieds, car même avec des talons il était encore plus grand que moi, et lui murmurais à l’oreille:

>>Je suis persuadée que vous pouvez me laisser sortir…

Je fis glisser doucement une main sur sa joue en ne quittant pas ses yeux, attendant sa réponse. La distance entre nous deux, ne devais pas dépasser dix centimètres, et je ne comptais pas laisser plus d’espace. Je devais absolument garder son attention fixée sur moi, c’est pour cette raison qu’il ne fallait pas que nous nous écartions de trop l’un de l’autre.

L’infirmière présente à nos côtés resta sans voix, elle n’osait pas nous regarder. Je suis persuadée que si elle aurait put s’en aller, elle l’aurait fait. Pour la mettre encore plus mal à l’aise, je la toisais légèrement, avant de regarder à nouveau le docteur dans les yeux et de lui sourire.

Je ne saurais pas dire ce que j’ai ressentis au plus profond de moi à ce moment précis. Jamais je ne drague ouvertement des hommes pour le simple plaisir de les draguer. Je trouve que se moquer des gens est absolument honteux. Cependant, j’avais l’impression de connaître la sensation qui naissait en moi, mais je ne voulais pas me l’admettre. Ah si la vie pouvait être moins compliquée se serait géniale.

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